Dès l’année 1942, l’interdiction du bal du dimanche, par Vichy comme par l’occupant, est mise à mal. À Lyon, le cardinal Gerlier observe avec regret que « même des familles chrétiennes » l’enfreignent. Il la déplore aussi car, « entre toutes les formes de délassement, la danse est celle qui exprime le plus la joie ». La guerre se prolongeant, cette interdiction ne cessera d’être bravée et les bals clandestins connaîtront, notamment dans les campagnes, une belle prospérité.
Informations techniques
Date :
27 septembre 1943
N° inventaire :
3857w43
Fonds :
Collection Archives départementales du Rhône à Lyon
Exposition :
Vous retrouverez cet objet dans l’exposition :
Génération quarante - Les jeunes et la guerre